Le Directeur général de NSIA assurance a donné, jeudi à Dakar, les raisons qui expliquent l’aversion des acteurs de la culture sénégalaise aux services de l’assurance.

« D’abord l’assurance est un métier que nous avons importé (…). La deuxième raison, c’est le manque de communication », a expliqué Momar Seck.

Il prenait part aux conférences LENGE organisées par étoile africaine, magazine des industries culturelles et créatives, de l’Entreprenariat et des talents africains.

Selon Monsieur Seck, l’assurance participe à la protection sociale et des biens et services des souscripteurs.

Au Sénégal, plusieurs acteurs culturels sont ceux qui refusent de faire appel aux sociétés d’assurances pour couvrir certains risques liés à leurs activités.

« Il y a un manque de communication déjà entre les assureurs et le monde de la culture », a souligné la Directrice des arts au ministère de la culture.

Selon Madame Khoudia Diagne, le ministère de la culture s’est rendu compte du sort réservé au acteurs du monde de la culture sénégalaise.

L’association des assureurs du Sénégal a promis de faire davantage des campagnes de communication à l’endroit des acteurs culturels et de proposer une nouvelle offre de service adaptée aux besoins du monde culturel.

Par Oumar Ba et Mamadou Gaye.

By Oumar

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