Les alumni DAAD, en partenariat avec YAAC, organisent les 16 et 17 octobre à Dakar une rencontre visant à renforcer l’engagement stratégique de ses membres et des jeunes leaders africains dans les processus de transition énergétique.
Les alumni DAAD et Youth Alliance for Afriecology and Climate se retrouvent à Dakar pour la promotion de la transition écologique et énergétique.
« La transition écologique et énergétique n’est donc plus une option politique, c’est un impératif. Mais cette transition se doit d’être profondément humaine, inclusive et équitable« , a expliqué Alexandre Zoumman.
Le coordinateur du projet et alumni DAAD a insisté sur la notion de justice climatique pour garantir que les populations africaines, en particulier la jeunesse qui représente 60 % de la population continentale, ainsi que les communautés les plus vulnérables, soient non seulement impliquées mais aussi bénéficiaires directs de cette transformation. Cette rencontre de deux jours se place sous le thème : « Une Afrique verte et résiliente : les alumni DAAD au service des transitions écologique et énergétique ». « Ce thème incarne bien plus qu’une simple orientation thématique. Il cristallise l’un des défis les plus déterminants de notre époque, tout en ouvrant la voie à des opportunités sans précédent : édifier une Afrique durable, résiliente et équitable, capable de faire face aux bouleversements climatiques et énergétiques qui redéfinissent notre monde« , a ajouté M. Zoumman.
Le DAAD soutient la formation des étudiants provenant d’Afrique subsaharienne. Le gouvernement allemand investit chaque année plus de 300 millions d’euros dans la coopération académique internationale.
Les boursiers DAAD ont acquis des compétences de niveau mondial dans les universités et centres de recherche internationaux et africains. « Ces talents reviennent aujourd’hui sur le continent, non pas comme de simples diplômés, mais comme des agents de changement, des innovateurs et des leaders capables de transformer les connaissances académiques en solutions concrètes et adaptées aux réalités locales« , a soutenu le coordinateur du projet.
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